Je suis prise en Hypokhâgne.
Vous vous rendez compte ?
Pas moi.
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
maga.helada
J'ai assassiné mes princes charmants.
Mardi 9 juin 2009 à 18:14
Je suis prise en Hypokhâgne.
Vous vous rendez compte ?
Pas moi.
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
Dimanche 8 février 2009 à 16:09
Soit, personne ne m'a taguée, mais comme cette chaîne me plaît... Je la fais quand même.
Plutôt Corne ou Marque-page ?
Tout dépend du livre. Généralement, mes livres de cours ont beaucoup de pages cornées pour mes repères. Et pour les autres, j'ai quand même le chic de perdre les marque-pages ou de le laisser dans le livre. Du coup, j'essaie de retenir les chiffres. Et quand je ne m'en souviens plus, je cherche dans le bouquin un passage que je connais pour ensuite aller jusqu'où je me suis arrêtée.
As-tu déjà reçu un livre en cadeau ?
Bien sûr que oui ! Pour Noël ou mon anniversaire, je reçois principalement des livres. Et puis sinon, dans l'année, on m'en paye aussi. Sauf que généralement, c'est quand même moi qui dicte ce que j'aimerais. Car je suis quand même assez difficile. Il faut bien me connaître pour m'offrir un livre qui me plaît vraiment.
Lis-tu dans ton bain ?
Je n'ai pas de baignoire, donc non, je ne lis pas dans mon bain. Mais je lis dans la piscine l'été. Du moins, quand il n'y a pas ma soeur dans l'eau pour complètement m'arroser.
As-tu déjà écrit un livre ?
Non, je n'ai pas cette prétention. J'ai déjà écrit quelques nouvelles, tout au plus.
Que penses-tu des séries de plusieurs tomes ?
Je suis pour, tant que l'histoire ne s'essoufle pas et que les personnages évoluent entre chaque tomes.
As-tu un livre culte ?
Non, pas vraiment. Il y en a quelques uns que j'aime beaucoup, c'est tout.
Aimes-tu relire ?
Tout est relatif. En général, non, je deteste ça. Mais j'arrive quand même à relire certains livres.
Rencontrer ou pas des auteurs de livres qu'on a aimé ?
J'adorerais. Faudrait juste que ça puisse se faire.
Aimes tu parler de tes lectures ?
Oui, beaucoup. Sauf que j'en parle généralement avec des gens qui ne lisent pas, ou qui n'ont pas lu le même livre. Forcément, ça coupe vite court à la conversation. Sinon, avec quelqu'un qui a lu le livre, c'est un vrai plaisir. Surtout lorsqu'on attend une suite, car on échange nos points de vue sur ce qui va pouvoir se passer.
Comment choisis-tu tes livres ?
Par auteur, en général. Ou alors, je cherche un livre bien précis parce que la critique lue dans un magasine me plaît. Sinon, je marche au coup de coeur : il faut que le titre, comme la couverture, me plaisent et m'attirent.
Une lecture inavouable ?
Non, pas du tout.
Des endroits préférés pour lire ?
Un endroit ou je peux me blottir et être bien au chaud. Si ça peut être confortable, c'est cool. Parce que lorsque je commence un livre, je le lâche difficilement. Et au bout de quelques heures, les douleurs commencent à se faire ressentir, quand même.
Un livre idéal, pour toi, serait... ?
Difficile à dire. Un livre où je ne vois pas le temps passer, dont les personnages me plaisent. Il faut qu'il arrive à vraiment me faire m'évader de la réalité. Je suis pas originale pour le coup. Tant pis !
Télé, jeux vidéos ou livres ?
Hmm... Livres et télé, je dirais.
Lire et manger ?
Quand je lis, j'oublie de manger. Même si j'ai préparé quelque chose à côté de moi, je n'y toucherais pas. Une fois perdue dans le livre, la réalité n'existe plus. alors une chose aussi basse que manger, pensez vous...
Lecture en musique, en silence ou peu importe ?
En silence. La musique fini toujours par me gêner.
Livre électronique ?
Je n'en ai jamais testé, et l'idée ne me branche pas trop, si je puis dire. Je préfère les bons vieux livres traditionnels !
Es-tu pour le partage des livres ou préfères tu une bibliothèque séparée de la personne avec qui tu vis ?
Je préfère largement ma bibliothèque à moi ! J'ai un petit peu de mal à prêter mes livres. Ce sont les miens... Enfin, en même temps, je les prête sans problèmes à ceux en qui j'ai confiance.
As-tu des livres dédicacés ?
Oui, deux. Un dont je ne me souviens plus du nom de l'auteur mais dont je suis fan quand même (du livre, pas de l'auteur). Et un de Pierre Bottero, Les tentacules du mal. Un auteur que j'aime vraiment, d'ailleurs.
Tu lis quoi en ce moment ?
Les âmes vagabondes de Stephanie Meyer. Mais, avec le bac blanc, j'ai pas trop le temps de lire. Puis, comme il fait un peu peur... J'ai du mal à m'y remettre vraiment.
Maintenant, que celui qui veut faire cette chaîne, le fasse. Je ne force personne.
Sauf Shadow'. Elle, elle doit le faire. Et Xiti aussi (sauf si tu ne veux vraiment pas). Et Honeymoon, du coup ! Et puis Deamone Iak. Et ça serait cool qu'Axeloup le fasse aussi, tiens.
Mardi 14 octobre 2008 à 21:35
Paris, le 14 octobre 2008
A vous,
==== La prof de philo nous a expliqué que le suicide était abominable pour les proches. Car si la personne se tue, elle tue aussi quelque chose à l'intérieur de ceux qui l'aimait. Ne croyez pas que cela m'a dissuadée. Cela m'a juste incitée à vous écrire une lettre. A vous, à tous ceux que j'aime. Juste pour vous dire que rien n'est de votre faute. Juste pour vous dire que je vous aime, et que ça a été ma seule réussite dans ma vie : vous aimer pleinement.
==== Je sais que je ne vous l'ai pas toujours montré. Que j'ai été très souvent égoïste. Qu'au lieu de vous rendre heureux, je vous ai ennuyés avec mes histoires. Je le sais tout ça. Mais croyez moi, je vous en prie, croyez moi. Je vous ai toujours aimé, je vais ai toujours chéri du plus profond de mon cœur. Même durant mes crises d'angoisse, ou je ne faisait que douter de vous, je vous aimais. C'était peut être ma manière à ma moi de me rassurer. Non, soyons clair, c'était ma manière de me rassurer.
==== Vous savez tous que je suis faible. Je vous l'ai montré mille et mille fois. Rien que par mes crises par exemple. C'est pour cela que je veux mettre fin à mes jours. Parce que je suis faible et parce que je vous aime. Vous serez bien mieux sans moi, ne vous inquiétez pas. Vous n'aurez plus à supporter une dépressive près de vous. Ni mon égoïsme, mes sauts d'humeur. C'est pas amour pour vous que j'ai décidé de mourir. Et c'est aussi par amour pour vous que je vous laisse cette lettre... Va-t-on la lire ? Je ne pense pas. Pourquoi la lire ?
==== Je n'ai pas confiance en moi. Si je vous aime du mieux que je peux, je doute être appréciée. Cette idée aussi me pousse à attenter à mes jours. Je sais bien que je suis insupportable, je suis lucide. Mais je ne peux pas faire autrement...
==== Vous allez être bien mieux sans moi, je le sais. Je me répète, excusez moi. Mais... Plus d'oublis, plus d'énervement, plus de stress, plus de gaffes, plus d'accusations non fondées. Non, vous ne pouvez que être mieux sans moi.
==== J'ai toujours eu besoin de tendresse pour vivre. Maintenant, que je me suis rendue compte que je n'en aurais jamais, que je ne le mérite pas, je préfère mourir qu'endurer cela. Excusez ma faiblesse.
==== La prof de philo nous a expliqué que le suicide était abominable pour les proches. Car si la personne se tue, elle tue aussi quelque chose à l'intérieur de ceux qui l'aimait. Ne croyez pas que cela m'a dissuadée. Cela m'a juste incitée à vous écrire une lettre. A vous, à tous ceux que j'aime. Juste pour vous dire que rien n'est de votre faute. Juste pour vous dire que je vous aime, et que ça a été ma seule réussite dans ma vie : vous aimer pleinement.
==== Je sais que je ne vous l'ai pas toujours montré. Que j'ai été très souvent égoïste. Qu'au lieu de vous rendre heureux, je vous ai ennuyés avec mes histoires. Je le sais tout ça. Mais croyez moi, je vous en prie, croyez moi. Je vous ai toujours aimé, je vais ai toujours chéri du plus profond de mon cœur. Même durant mes crises d'angoisse, ou je ne faisait que douter de vous, je vous aimais. C'était peut être ma manière à ma moi de me rassurer. Non, soyons clair, c'était ma manière de me rassurer.
==== Vous savez tous que je suis faible. Je vous l'ai montré mille et mille fois. Rien que par mes crises par exemple. C'est pour cela que je veux mettre fin à mes jours. Parce que je suis faible et parce que je vous aime. Vous serez bien mieux sans moi, ne vous inquiétez pas. Vous n'aurez plus à supporter une dépressive près de vous. Ni mon égoïsme, mes sauts d'humeur. C'est pas amour pour vous que j'ai décidé de mourir. Et c'est aussi par amour pour vous que je vous laisse cette lettre... Va-t-on la lire ? Je ne pense pas. Pourquoi la lire ?
==== Je n'ai pas confiance en moi. Si je vous aime du mieux que je peux, je doute être appréciée. Cette idée aussi me pousse à attenter à mes jours. Je sais bien que je suis insupportable, je suis lucide. Mais je ne peux pas faire autrement...
==== Vous allez être bien mieux sans moi, je le sais. Je me répète, excusez moi. Mais... Plus d'oublis, plus d'énervement, plus de stress, plus de gaffes, plus d'accusations non fondées. Non, vous ne pouvez que être mieux sans moi.
==== J'ai toujours eu besoin de tendresse pour vivre. Maintenant, que je me suis rendue compte que je n'en aurais jamais, que je ne le mérite pas, je préfère mourir qu'endurer cela. Excusez ma faiblesse.
==== N'oubliez jamais, jamais cela. Je vous aime.
A plus tard dans le Ciel.
Je vous regarderai des étoiles si j'ai le droit de les atteindre.
Je vous regarderai des étoiles si j'ai le droit de les atteindre.
Alicia.
[ Info flash : (8h00) Une adolescente de 16 ans retrouvée morte. La thèse du suicide est avancée. (9h00) Pour l'adolescente retrouvée morte à son domicile, un lettre qu'elle a laissée pour ses proches confirme la thèse du suicide. (10h00) Attentats à.... Fin de l'histoire.]
P.S : J'veux retenter d'écrire. Je sais, ça c'est vraiment pas terrible. Trop de répétitions, pas réellement de sentiments, Pas d'organisation précise, pas très réaliste... Mais, il faut un début à tout. Je crois.
P.S : J'veux retenter d'écrire. Je sais, ça c'est vraiment pas terrible. Trop de répétitions, pas réellement de sentiments, Pas d'organisation précise, pas très réaliste... Mais, il faut un début à tout. Je crois.
Mercredi 12 mars 2008 à 18:02
Elle souffre tellement. Elle l'a perdu, et tout est de sa faute. Elle ne peut pas vivre sans lui. Que voudriez vous qu'elle fasse ? Sa vie n'a pas de sens sans la chaleur de son corps. Sans ses lèvres sur sa peau. Elle ne peut plus vivre. Parce qu'elle étouffe de douleur. Elle s'excuse.
Mon Amour,
Je m'excuse de t'avoir fait subir cela. Je suis désolée que tu ais dû me supporter. Je n'étais qu'un fardeau je le sais. C'est pour cela que tu as voulu tout arrêter n'est ce pas ? Parce que tu n'as pas supporté de trop peu me voir. Tu n'as pas supporté mon caractère. Tu es l'Amour de ma vie tu sais ? Tu m'as fait découvrir que je pouvais avoir une confiance aveugle envers une personne. Que je pouvais réussir à croire les mots que l'on me murmurait à l'oreille. Comme les Je t'aime. Je n'aurais jamais cru pouvoir me sentir vraie. Paisible. Heureuse. Je n'aurais jamais cru non plus que je pouvais désirer quelqu'un à ce point. Te rends tu compte de ce que tu es pour moi ? Tu es mon âme mon Amour. Tu es ma vie, simplement. Alors tu comprendras mon geste. Comme cela, je n'appartiendrais plus à personne. Je ne ferais plus jamais souffrir quelqu'un. Et que vaut ma vie sans toi ? Tes mots m'ont tellement blessée. Comment puis je avoir de nouveau confiance en une personne après toi ? Tu m'avais promis tant de choses. Tu m'avais promis de ne pas m'abandonner. Et pourtant, tu l'as fait. Tu m'avais dit que tu m'aimais, alors pourquoi m'as tu fais ça ? Je ne peux plus croire à tes mots. Je ne peux plus croire aux mots des autres. Si je ne peux plus croire en rien, pourquoi vivrais-je ? Je suis entre la vie et la mort. Cette dernière m'apparaît comme une véritable délivrance.
Mon Amour,
Je m'excuse de t'avoir fait subir cela. Je suis désolée que tu ais dû me supporter. Je n'étais qu'un fardeau je le sais. C'est pour cela que tu as voulu tout arrêter n'est ce pas ? Parce que tu n'as pas supporté de trop peu me voir. Tu n'as pas supporté mon caractère. Tu es l'Amour de ma vie tu sais ? Tu m'as fait découvrir que je pouvais avoir une confiance aveugle envers une personne. Que je pouvais réussir à croire les mots que l'on me murmurait à l'oreille. Comme les Je t'aime. Je n'aurais jamais cru pouvoir me sentir vraie. Paisible. Heureuse. Je n'aurais jamais cru non plus que je pouvais désirer quelqu'un à ce point. Te rends tu compte de ce que tu es pour moi ? Tu es mon âme mon Amour. Tu es ma vie, simplement. Alors tu comprendras mon geste. Comme cela, je n'appartiendrais plus à personne. Je ne ferais plus jamais souffrir quelqu'un. Et que vaut ma vie sans toi ? Tes mots m'ont tellement blessée. Comment puis je avoir de nouveau confiance en une personne après toi ? Tu m'avais promis tant de choses. Tu m'avais promis de ne pas m'abandonner. Et pourtant, tu l'as fait. Tu m'avais dit que tu m'aimais, alors pourquoi m'as tu fais ça ? Je ne peux plus croire à tes mots. Je ne peux plus croire aux mots des autres. Si je ne peux plus croire en rien, pourquoi vivrais-je ? Je suis entre la vie et la mort. Cette dernière m'apparaît comme une véritable délivrance.
Je t'aime mon Amour.
Un corps sombre lentement dans l'eau. Elle vient faire une chute de plus de trente mètres. La lettre est posée sur le rocher. Un simple prénom est dessus. Elle ne sera jamais retrouvée. Elle aura été libérée. De sa souffrance. De son Amour. C'était un ange sur Terre. Elle en sera un dans le ciel. Forcement.
Apparté de la propriétaire de ce blog :
C'est la première fois depuis longtemps que j'écris un texte fictif. Pas totalement fictif, soit. Ceux qui me connaissent le comprendront très vite. Dites votre avis, hein.
Apparté de la propriétaire de ce blog :
C'est la première fois depuis longtemps que j'écris un texte fictif. Pas totalement fictif, soit. Ceux qui me connaissent le comprendront très vite. Dites votre avis, hein.
Dimanche 17 février 2008 à 10:54
Elle le sent tout près. Bien trop près. Il est tapit dans l'ombre. Attendant qu'elle baisse ses gardes. Pour pouvoir se jeter sur elle. Elle s'allonge sur le dos. Il commence à ressentir de l'excitation. Elle ne tiendra plus longtemps. Tout n'est plus qu'une simple question de minutes. Elle gémit une dernière fois. Elle sombre. Alors commence pour lui sa nuit. Celle qu'il aime tant. Il s'approche lentement d'elle. Même maintenant elle le sent. Elle se recroqueville sur elle même. Sa peau si pâle frissonne. Il commence à la caresser. Il jubile déjà alors qu'il l'a à peine frôlée. Elle est si douce, si froide. On pourrait la croire morte. Si ce n'est que ses gémissements continus qui émanent d'elle. Elle est parfaite. Il s'approche de son cou. Passe son haleine sur sa nuque alors qu'il la caresse avec d'autant plus de ferveur. De la sueur commence à perler sur son front de marbre. Elle devient brûlante. Il ne peut plus se retenir. Il sait qu'elle est à lui. toute entière. Parce qu'elle ne peut pas se refuser à lui. Alors il prend possession d'elle. Violemment. Il est en extase. Il vit en elle. Entre dans ses pensées. Joue avec ses peurs, ses désespoirs, ses amours perdus, ses rêves inaccessibles. Elle pleure maintenant. Elle n'arrive pas à lui échapper. Il est tellement plus fort qu'elle. Toutes les nuits, toutes les nuits, elle est son jouet. Il fait d'elle ce qu'il veut. Elle n'arrive jamais à lui faire face. Il commence à se lasser. Elle sent sa libération proche. Mais on n'abandonne pas comme ça un jouet. Surtout quand il procure autant de plaisir. Alors elle se force. S'arrache enfin à lui. Elle rouvre les yeux. Il la hante encore. Il est tout près d'elle, continuant à la frôler. Contrôle toujours ses pensées. Ses larmes roulent sur ses joues et atterrissent sur la couverture. Elle est parfaitement réveillée maintenant. Commence à reprendre ses esprits. Ses cauchemars ne reviendront pas pour l'instant. Du moins elle l'espère. Parce qu'elle a peur d'eux. Elle a peur de dormir à cause d'eux. Parce qu'elle sait qu'ils reviendront toujours comme cette nuit. Elle se laisse tomber sur l'oreiller. Elle pleure toujours à chaudes larmes. Elle a besoin de quelqu'un. Comme d'habitude personne. Non, personne n'est là pour la rassurer. Elle sait que se ne sont que des cauchemars. Elle sait aussi qu'elle est partit pour une bonne heure de sanglots étouffés dans l'oreiller. Alors elle se met sur le côté. Attend que ses esprits se calment. Que ses larmes sèchent. N'a-t-elle pas l'habitude de toutes façons ?